Rue des italiens
77-->90 : Père dit que la mère doit rester à la maison. Mère se met à coudre et organise des journées avec les autres. Femme pas le droit se faire ce qu'elle veulent, homme décide, homme domine, elles peuvent pas sh'abiller comme eles veulent. Ont famille à Charleroi. Ecroulement à Charleroi : 200 à 300 italiens morts ( dans le journal en français, peu peuvent lire ).
Ils se rendent à Charleroi et leur tonton est compris dans les 300. Ils croient aux rêves prémonitoires.
Certains pensent à retourner chez eux car le travail est dangeureux. Le Père du narrateur était barbier avant.
Du point de vue du père, les italiens (mine = boulot ) et les belges ( mine = vie ) mineurs sont différents.
Les italiens souhaient + de sécurité dans les mines. Les syndicats viennent voir le père pour cela.
91-->105: Son père aime la musique et c'est pour ça qu'il n'est pas mineur mais manoeuvre. Le travail est tellement dur que certains se font couper les doigts volontairement pour gagner de l'argent ou avoir des jours de repos.
Son père était connu pour ses belles mélodies avec sa guitare. Il a donc organisé des spectacles, dans lesquels ils jouaient et racontaient des blagues ( pas drôles --' ).
Lors d'une fête ( mariage ? pg 100 environ ), le narrateur a rencontré Rosa, son premier amour.
105-->110 : parle de la Sainte Barbe, fête des mineurs. Femmes et enfants rejoignent le père à leur boulot à la mine ( ici Morlanwelz ). Le narrateur n'apprécie pas cette fête. Pas d'événement important à retenir.
110-->117 : Pas de choses importantes à part