Rédaction :L’écriture autobiographique

Je me rappelle du jour où je me suis coupé le pouce gauche. J’étais chez moi et j’avais très envie d’aller aux toilettes, je m’étais donc dirigé vers la porte des toilettes, qui était dans le couloir. Je poussais donc la porte qui ne bougea pas d’un pouce, par déduction je compris que ma sœur était à l’intérieur. Je frappai doucement en lui demandant de sortir mais il n’y eu aucune réponse puis je tapais plus fort de plus en plus fort en lui criant de m’ouvrir. Elle m’ouvrit donc la porte me dit que je lui avait pourri son score à TETRIS et referma violement la porte…….sur mon pouce que j’avais glissé dans l’entrebâillement. Au début je n’ai rien senti seulement vu le flot de sang qui sortais à la place de mon pouce. Puis la douleur est arrivée et j’ai fait la seule chose que peut faire un enfant en découvrant qu’il s’était coupé le pouce avec une porte : j’ai crié, fort, très fort puis ma sœur à crié en découvrant mon pouce sur le carrelage des toilettes, puis le chien à hurlé à la mort et enfin mon père a assommé le chien. Ma mère a tout de suite appelé les urgences qui nous ont emmenés jusqu’à l’hôpital, mon pouce et moi, où les chirurgiens ont passé 2 heures à recoudre mon pouce puis renvoyé rapidement à la maison. Les chirurgiens étaient des professionnels, regardez il n’y a même pas de cicatrice. Ce jour là je me suis senti très bête car c’est assez stupide de se couper avec une porte et je me souviens aussi que ça faisait très mal et que l’anesthésie était très agréable. Quand je repense à ce jour je ne peut que rire de la situation improbable dans laquelle je m’étais fourré a cause d’une simple envie d’aller au