Réfléction sur la mort ou la pitié
Quiterie
Dissertation
Dans la littérature, les auteurs abordent beaucoup de sujets, plus ou moins importants. Tous ont leur propre idée sur ce sujet, et leur propre manière d’en parler.
Pour nous faire réfléchir sur la mort, la littérature peut choisir de faire rire ou de susciter la pitié. Selon vous, laquelle de ces deux voix et la plus favorable à la réflexion ?
La réponse de cette question est constituée de trois parties, la littérature à travers le rire, à travers la pitié et enfin, nous verrons quelle voix et la plus favorable.
L’humour est considéré comme un « passe-temps », quelque chose qui casse l’ennui.
Beaucoup de psychologues disent que les personnes qui rient le plus sont des personnes qui ont l’esprit ouvert, et qui sont plus « aptes » à apprendre de mauvaises nouvelles. Beaucoup d’auteurs utilisent l’humour pour parler de sujets sérieux comme Voltaire qui, dans Candide, décrit la guerre comme une mise en scène, un spectacle, ou Rabelais en écrivant Gargantua.
Parler de la mort avec humour n’est pas interdit. Cela aide parfois à mettre à distance une terrible nouvelle qu’on rendra ainsi moins effrayante. Ainsi, La Fontaine dans ces Fables comme « Le Vieillard et la Mort » ou La Bruyère dans « De L’homme » racontent l’histoire de personnages amusants qui se plaignent de leur malheurs mais qui, devant la mort, deviennent tout à fait ridicules.
Faire rire le lecteur, ou le spectateur au théâtre, est une sorte de dédramatisation de la question de la mort. Le lecteur se sent moins opprimé par le sujet et prend de la distance avec la mort « dramatique ».
Cependant, d’autres écrivains ont décidé de parler de la mort en suscitant la pitié du lecteur ou du spectateur.
En effet, la manière la plus commune de parler de la mort est dans sa véritable forme : tragique. L’auteur a le sentiment d’être directe ou ne veut pas diffamer la question de la mort à travers le rire. Par exemple, La Fontaine dans sa