LES REPONSES SOCIALES AU VIEILLISSEMENT ET A LA DEPENDANCE : CLIC, APA …
Fin des années 90, émergence d’une politique en faveurs des personnes âgées et particulièrement au niveau de la dépendance. L’allongement de la durée de la vie, aujourd’hui on vit jusqu’au-delà de 70 ans, voir 100 ans. Le papy-boom, ces personnes vont vieillir et d’ici les années 2030 ces personnes être concernées. Le progrès médical, les conditions de vie, de travail moins pénibles, l’amélioration des conditions de vie. Cette longévité ne concerne pas que la France et l’Europe, elle concerne tous les pays en voie de développement et développés.
Comme on vit plus longtemps, il y a des pathologies qui apparaissent, des dégénérations neurologiques, démences mixtes qui entrainent de la dépendance. Des maladies qui deviennent chroniques. (avant si on a un cancer, on avait des chance de décéder, désormais on peut vivre avec un cancer pendant très longtemps), prise en charge des soins et donc de la sécurité sociale.
En France en 2010, a été répertorié 10 millions de plus de 60 ans, en terme de proportion, que le nombre de personnes de + de 70 double depuis 2050.
L’écart se rétrécie entre les hommes et les femmes. Les femmes sont généralement mieux suivies que les hommes. (avant les hommes avaient des conduites à risque plus que les femmes)
La prise en charge de la dépendance.
Dépendance : ne peut plus s’assumer seule au quotidien, tiers, vulnérabilité, perte d’autonomie, différence degré.
La dépendance dans le sens générique, on est tous dépendant. Ce n’est pas parce que l’on est défini comme dépendant qu’on n’est plus autonome. Quand on cumule des déficits, on peut croire qu’en étant dépendant on perd en autonomie, (sa liberté de penser, de choisir un certains nombres de choses).
La définition au niveau de la loi : la dépendance peut limitée l’autonomie des individus indépendamment de l’âge. Il existe trois grandes catégories de personnes pour lesquelles on va considérer que leur