Philosophe né au sein d’une famille juive, de langue et culture allemandes, Sigmund Freud commença ces études en médecine et lors de ces cours de physiologie, il commença à s’intéresser de plus en plus au cerveau et au système nerveux. Ce n’est que plus tard qu’il décida d’écrire sa propre théorie, la psychanalyse «méthode d’analyse de la personnalité, visant au traitement des névroses, des complexes et, en général, des troubles mentaux d’origine psychologique»1. Freud décrit l’être humain comme étant un être constitué principalement de pulsions. Lorsqu’il créa cette théorie, il la divisa en deux grandes topiques, soit la théorie de psychisme humain et la théorie dynamique de la personnalité. Premièrement, la théorie de psychisme humain est subdivisé en trois catégories distinctes et chacune d’entre elles jouent un rôle, il y a l’inconscient, le préconscient et le conscient. Dans la catégorie de l’inconscient se trouve tout ce qui est en rapport avec les rêves, selon ce dernier, les rêves enfouissent tous nos désirs ou tendances inconscients. Notre inconscient consent à un refoulement de nos pulsions perverses, ceci est un mécanisme de défense contre soi-même, car il repousse tous nos pulsions et désirs sexuels qui ne sont pas bien vu aux yeux de la présente société. Le préconscient et le conscient se complètent un peu. Le préconscient est la continuité de l’inconscient, c’est la représentation des pulsions refoulés, ce sont tous les actes psychiques que nous n’avons pas encore à l’idée mais qui pourraient finir par se développer et le conscient est l’étape ou tous les phénomènes psychiques auxquels nous pensons sont présentement à notre esprit. Deuxièmement, la théorie dynamique de la personnalité est également divisée en trois catégories distinctes, soit le ça, le sur-moi et le moi. Le Ça est la première phase de cette théorie, elle représente la partie psychique de l’être humain. Selon ce dernier, le Ça est un réservoir qui refoule constamment nos désirs, nos