Résumé enfance de nathalie sarraute
Introduction
Après avoir vu en classe la réplication de l’ADN, le passage du gène à la protéine, ainsi que les processus de la mitose et de la méiose, nous allons maintenant nous intéresser à l’hérédité et la génétique et plus précisément dans ce cas, à la génétique mendélienne.
Le but de l’expérience est donc de faire de la statistique comme le faisait Mendel, pour étudier le rapport phénotype-génotype de l’épi de maïs étudié et de ses parents et ainsi vérifier en pratique les théories de Mendel par rapport au dihybridisme et se familiarisé avec ce processus. Nous travaillons avec des épis de maïs, car chaque grain est un individu, et chaque épis une population.
Matériels et méthodes
Nous avons reçu successivement 2 épis de maïs (un plus claire et l‘autre plus foncé). Le premier, le plus sombre (F2), nous l’avons observé afin de pouvoir établir l‘histoire généalogique des parents et des grands-parents. Pour le deuxième, nous avons compté 6 fois 4 grains, puis 6 fois 12 grains et enfin 200 grains. Pour nous faciliter à compter les grains et éviter d‘abimer l‘épis (cela fait plusieurs années que l‘on utilise les même épis pour cette expériences), il était recouvert d’un plastique. Ainsi lors des comptages nous avons pu marquer au stylo indélébile les grains de maïs compté. Pour chaque comptages nous avons fait un tableau du nombres trouvé et du pourcentage en les répartissant selon leurs phénotypes: Violet lisse [VL], Violet ridé [Vl],Jaune lisse [vL]et Jaune ridé [vl]
Nous avons ensuite effectué le test du χ², qui permet d’évaluer à quel point nos résultats expérimentaux sont conformes avec les fréquences théoriques.
Résultats et discussion
Chaque grain est un individu, chaque épi une population. Les croisements se font en pollinisant un épi d’une plante avec l’épi de l’autre plante. On a croisé des plants de deux variétés "pures" pour les caractères considérés (parents: P).