Résumé livre des lumières
En 1771, le navigateur français Bougainville publie son Voyage autour du monde. Le dialogue de Diderot est une réaction à ce récit de voyage. Il y développe ses propres réflexions à propos de la colonisation, l'esclavage, la liberté, etc.
Dans ce texte, présenté sous la forme d'un dialogue, il est question d'un vieux Tahitien, qui adresse plein de reproches à Bougainville et à ses intentions de coloniser Tahiti.
Les propos du vieux Tahitien, qui incarne le mythe du « bon sauvage », laissent transparaître la critique acerbe de Diderot. La phrase réprobatrice « Qui es-tu donc pour faire des esclaves » unit les aspects principaux : en condamnant l'esclavage, Diderot défend les droits de l'homme, tout d'abord la liberté de l'individu, mais il exprime aussi l'opinion selon laquelle les
Français n'ont pas de justification raisonnable pour leurs menées impérialistes. En outre, il fait une apologie des mœurs des Tahitiens, menacées par la civilisation occidentale. Il montre que le comportement prétentieux des colonisateurs est à l'opposé des valeurs des Lumières et n'a pas de place dans une société éclairée. Le dialogue entre l'aumônier et Orou est d'ailleurs une critique des dérives de la religion catholique
Voltaire retrace les mésaventures d’un jeune homme victime d'injustice nommé Zadig qui fait l’expérience du monde dans un Orient de fantaisie. Tour à tour favorable et cruelle, toujours changeante, la fortune du héros passe par des hauts et des bas qui rythment le texte : Zadig échappe de nombreuses fois à la prison et aux amendes car il a été accusé à tort. En fin de compte, Zadig est nommé Premier ministre du roi de Babylone, il s’avère être un très bon homme, finalement très apprécié du roi, jugeant justement les gens, et non d'après leurs revenus, comme le faisaient les autres ministres, c’est donc selon une justice équitable que Zadig travaille en tant que ministre du roi. Malheureusement