Qui n’a jamais subit « La nuit des temps » de René Barjavel ? Ce roman de science fiction publié en 1968 est une de ses œuvres phare. René Barjavel est un écrivain et journaliste dont les romans abordent souvent des thèmes comme la folie de la guerre, le caractère éternel et indestructible de l’amour où encore la fin de certaines civilisations en raison des excès de la science. En effet, ce dernier constitue le corps de ce roman.

Nous sommes au cœur du pôle Sud, en Antarctique. Un groupe de chercheurs scientifiques français perçoit un signal grâce à leur sonar. Ce signal révèle la présence de quelque chose dans la profondeur des glaces. Les chercheurs mettent alors tout en œuvre pour le découvrir puis, non sans peine ils parviennent à extraire cette « capsule » du sol. C’est à ce moment que des scientifiques du monde entiers viennent découvrir et partager ce moment historique. A l’intérieur se trouve les corps d’un homme et d’une femme totalement nus. Simon, un des scientifiques, décide alors de réveiller l’un d’entre eux. Observant que celui de l’homme était dans un piteux état, il décide alors de réveiller cette femme, Eléa, d’une beauté sans précédent. Celle-ci se réveille puis Simon tombe éperdument amoureux d’elle. Vient ensuite une longue comparaison du mon d’Eléa, un monde meilleur, parfait, vierge de toutes maladie et du nôtre. Eléa raconte ensuite pourquoi c’est elle sui se trouve dans cette capsule. En réalité, la fin de son monde étant proche, cette capsule avait était mise au point pour elle et son âme sœur afin de pouvoir recréer leur civilisation dans le futur. Mais ce n’était sans compter sur le fait que Coban, l’obligea de prendre place à ses cotés alors que celle-ci était amoureuse d’un autre, Païkan. Eléa refuse donc de donner son sang à Coban pour qu’il survive de ses blessures et dans un accès de colère elle s’empoisonne, puis donne son sang à Coban, ce qui va le tuer également. Mais l’homme était en réalité Païkan qui avait assassiné Coban