Résumé
En évitant la morale que les jeunes n’écoutent pas, on peut les mettre du moins au courant des dangers qu’ils encourent en les informant sur le tabagisme. (27)
Les médias, pourtant si prompts à dénoncer toutes sortes de pollutions sont bien discrets sur ce sujet et quand on en parle, c’est évidemment pour accuser la société. (28)
De plus, beaucoup de jeunes, bien que n’aimant pas cela, fument d’abord par curiosité puis pour faire comme les grands et être acceptés du groupe, devenant insensiblement dépendants. Et, quand à 16 ans, on est devenu accro, il n’est plus temps de moraliser, de préciser les risques encourus, si loin de la jeunesse encore pleine de santé et d’espérance. (58)
Cependant il vous faut connaître les risques immédiats : problèmes respiratoires et de mémoire ; les filles, elles, prendront un sacré coup de vieux prématuré ! (22)
Un jeune ne peut s’arrêter ? Du moins peut-on lui conseiller de fumer moins nocivement et lui dire que trente ans sont nécessaires pour constater les ravages du tabac alors que dix ans lui suffisent à retrouver, s’il arrête à temps, des poumons quasiment sains. Pour s’en convaincre, il n’aura qu’à regarder autour de lui car l’exemple est le seul moyen pour qu’il prenne conscience du danger (65)
200 mots
sujet : le tagabisme chez les jeunes genre de texte : lettre ouverte thèse défendue : on peut inciter les jeunes à arrêter en les informant et sans moraliser.
Type d’argumentation : argumentation d’autorité et d’expérience (L’auteur est médecin et fumeur repenti) ; argumentation par