Résumé
Dédié à Franz Liszt, ce portrait d’une coquette représentative des nobles familles du faubourg Saint-Germain, qui tiennent leur fortune de leurs terres et qui vivent sur le mythe d’une naissance supérieure, fut inspiré à Balzac par la Duchesse de Castries avec laquelle il eut une aventure orageuse, et qui l'humilia sans jamais se donner à lui. Balzac en conçut d'abord une violente rancœur, puis les relations devinrent plus cordiale à la parution de La Duchesse de Langeais, dans laquelle la duchesse de Castries se reconnut en portrait à demi flatté.