Réussi quand on est cancre
Yves et Denis sont des modèles de réussite… Avec deux métiers très différents, mais un point commun qui les rapproche depuis l’enfance : ils étaient tous deux des cancres à l’école. Et pourtant, ils ont su renverser la situation ! Alors, pourquoi et comment ? C’est ce que nous allons découvrir en compagnie d’un psychopédagogue qui va décrypter pour nous le parcours de ces deux mauvais élèves reconvertis !
Denis est directeur de l’école Aristide Briand et pourtant, en tant qu’élève, il n’était pas si brillant que ça !
Live bulletin.
Sonore Denise - Mère de Denis.
Sonore Denis Vétillard – Directeur d’école.
« Aller en classe pas de plaisir, pas d’intérêt ».
Yves, lui, dirige aujourd’hui une entreprise florissante, et il n’a pas non plus gardé une image très agréable de sa scolarité… En tout cas, il ne l’affiche pas!
Sonore Yves Salaün – Directeur Société Facility.
« Pas accroché de diplôme dans mon bureau car j’en ai pas pas ».
« Nul. Catastrophe… Je ne me sentais pas comme les autres ».
Mais pour Alain Sotto, l’échec scolaire n’est pas une fatalité. Il existe des solutions pour renverser la tendance…
Alain Sotto – Psychopédagogue.
« Faut valoriser là où il a réussi… Evidemment on ne peut pas donner coup de baguette magique mais (…) chez les cancres on s’aperçoit qu’il y a un domaine de compétence et c’est là qu’il faut aller ».
La réussite passe donc par une première étape : identifier une qualité qui n’apparaît pas forcément dans le programme scolaire.
Denis par exemple, était un enfant avec un bon sens du relationnel…
Maman de Denis.
Yves, lui, a exprimé son intelligence à travers un sens des responsabilités très précoce.
Yves Salaün « adorais sport sérieux défenseur »…
Alain Sotto : « c’est là qu’il y a une compétence qui sommeille et va permettre un jour le déclic ».
Le déclic : c’est la deuxième étape pour qu’un mauvais élève réussisse. Une fois qu’on a identifié une qualité, il