révolution des parapluies
Récemment à Hong Kong, des étudiants ont manifesté leur désaccord face a une nouvelle réforme politique restrictive et antidémocratique proposée par le parti communiste chinois. Le très grand nombre d’étudiants et de Hongkongais qui ont bloqué les grandes artères du centre de la région administrative spéciale sont favorable à l’instauration d’une réelle démocratie dans le pays
.
Dans le document suivant, la problématique seras présenté, des facteurs seront expliqués, des conséquences possibles exposées et notre point de vue précisé. Cette révolution a débuté au mois d'août lorsque les autorités chinoise ont annoncé que lors des élections de 2017, le futur chef exécutif serait choisi parmi deux ou trois candidats sélectionnés par Pékin. C’est depuis le 27 septembre que les manifestants bloquent les rues. La police antiémeute a utilisée des grenades lacrymogènes afin de disperser la foule, les manifestants se protégèrent donc avec des parapluies, d'où le surnom de cette révolution. Malgré leurs efforts pacifiques, la décision, du
Comité
permanent de l'Assemblée nationale populaire chinoise reste inchangé. Les acteurs de ce conflit se séparent en deux camps, les manifestants et le gouvernement. Les manifestants sont magoritairement composés d’étudiants, avec la participation la Fédération des étudiants (grève de cours), d’« Occupy Central with
Peace and Love » et de La Confédération des syndicats de Hong Kong. Leurs
opposants sont Pékin, (dont l’Assemblé Nationale), la police et le Parti Communiste
Chinois.
La Chine voit d’un très mauvais oeil ces manifestations d’ordre publique, elle les estime même illégales. Un porte parole du conseil chinois des affaires d'état a même déclaré que le gouvernement chinois est :
« fermement opposé à toute activité illégale susceptible de nuire à l'état de droit et mettre en danger la paix sociale ». Leug
Chunying a malgré tout déclaré qu’il n’interviendrait pas