« Ma puce me suis, je suis ma puce », Frédérique Nef. A travers ses propos, nef conçois que l’échange numérique impose de nouveaux comportements et de nouvelles règles du savoir communiquer.
Aussi le dossier composé de trois documents textuels et d’une iconographie d’un journal, abordent la révolution numérique, les nouveaux échanges établis et les conséquences. Dès lors, Cette évolution des échanges numériques modifie t’elle nos comportements ? Pour résoudre cette problématique, après avoir déterminé que le rire est une nouvelle culture, les auteurs analysent ce phénomène qui dépasse l’.

La révolution numérique est une nouvelle culture, elle change notre comportement et notre mode de vie. Ainsi cette évolution engendre des communications différentes. En effet ce changement dans la société et très visible à travers les comportements, surtout auprès des jeunes adultes qui ont grandi en même temps que ces changements. C’est pourquoi Pessin dans Le monde, 3 juin 2007 et Manon Quinti dans « vouloir protéger sa vie privée sur internet, c’est ringars » paru le 26 mars 2012 dans l’express, conçoivent les individus concerné comme ayant entre 15 à 29 ans. L’échange ou plutôt l’exposition est centré sur des données et révélations personnelles : P Flichy constate que ses nouveaux échanges concernent particulièrement l’émotion et l’intime à l’instar de P Lemoine où un jeune homme étale sa vie privé. Pessin proclame même, qu’au-delà de divulguer sa vie, l’être humain étale celle des autres. Tous ces moyens d’afficher la parole privé passe chez P flichy par la radio et la télé, P Lemoine complète avec les magazines, Facebook, le site de partage photo Flickr, et pessin généralise par le médium ordinateur. M Quinti accuse quant à elle internet j’jusqu’aux espace publique tout entier.
Ce mode de communication supprime la limite entre le publique et la privé. Tous les auteurs s’accordent pour affirmer la disparition de cette frontière. P Lemoine dénonce les émissions de