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Que soulèvent ces deux études de cas ?
C. Vers des mises en perspective à l’échelle mondia le. 1°) Un bilan des deux études de cas.
Le Brésil est l’un des plus gros producteurs agrico les mondiaux. Il a su moderniser ses exploitations par une agriculture in tensive (soja) ou extensive
(bétail). Cependant, malgré son autosuffisance, la sous-alimentation persiste.
Les pays autour de la mer d’Aral (Kazakhstan, Ouzbé kistan, Tadjikistan,
Turkménistan) développent leur économie à l’aide de l’eau (or bleu, or blanc), au détriment d’un équilibre social et environnement al. Ces deux exemples montrent que ces Etats présentent des difficultés pour mettre en place un mode durable de développement, d ont l’eau reste un enjeu majeur. Chaque étude soulève par ailleurs des quest ions qui lui sont propres.
2°) Du Brésil à notre planète : Sur Terre, comment produire suffisamment de nourri ture ? Doit-on privilégier les céréales, les légumes ou la viande
? Quelles sont les régions les plus productrices ? L’agriculture moderne est-elle la panacée ? Le secteur primaire dépend-il de l’agro-industrie ? Y a-t-il e ncore des réserves de terres ? De plus, comment assurer la sécurité alimentaire m ondiale ? Les inégalités économiques et sociales se limitent-elle s aux frontières brésiliennes ?
Y a-t-il des aides internationales ? La planète est
-elle autosuffisante ? Enfin, comment mettre en place des modes durables d’agricultures ?
Peut-on croire en une agriculture équitable, vivabl e et viable, c’est-à-dire respectant les sociétés, l’économie et l’environnem ent à l’échelle mondiale ?
3°) De l’Asie centrale à l’échelle mondiale :
La situation des réserves mondiales d’eau est-elle aussi dramatique qu’en
Asie centrale ? Y a-t-il une réduction des ressourc
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