Sartre, la conscience
JP Sartre définit la conscience comme une forme insaisissable, vacillante, mais irréductiblement dirigée vers l’ailleurs. Elle est dirigée suivant le principe moteur de l’intentionnalité. Mais cette forme vague qui cherche à se repaître de l’Autre, qui cherche à prendre existence à travers la connaissance de l’ailleurs, est confrontée à une résistance extrême ! imperméabilité des substances les unes aux autres.
La conscience est ainsi réduite à errer dans un no man’s land sans prises. Car, comble du comble, la conscience est également imperméable à elle-même. Et c’est sur ce point