Philosophie : Jean Paul Sartre, l’Age des passions

Dans la première partie de « Sartre, l’Age des passions », Sartre nous est présenté comme un intellectuel engagé.
Dans la France de 1958 dédier à de Gaulle et mesurer à la guerre d’Algérie, Frédéric, un Français, et sa petite amie, Carla, deux universitaires parisiens, font la connaissance de Sartre et sa femme Simone de Beauvoir et en deviennent proches. Le couple d’intellectuels milite avec passion contre les atteintes à la liberté à travers ses pièces de théâtres et ses nouvelles. Il faut préciser que Sartre ne serait rien sans sa compagne qui est pour lui une réelle aide, elle l’exemple même de la femme engagé intellectuel forte et a fort caractère qui prend sur elle. Leur engagement est prouvé par les censures exercée sur Les Temps modernes, manifeste des 121 sur l’insoumission en Algérie, soutien aux « porteurs de valises ».

Jean-Paul Sartre apparaît comme un personnage complexe, fusionné dans des contradictions qui font son charme et une ambiguïté qui en créent un personnage très philanthrope. Sa vie sentimentale est de même très complexe imbriquée dans l’engagement politique. Par l’entremise de Frédéric, enfin, un dialogue à distance s’instaure entre Sartre et l’autre grand penseur, Raymond Aron. Sa relation avec le Castor, Simone de Beauvoir, n’est pas du tout le reflet d’un couple classique, ils sont en quelque sortent idéaliser par les autres couples qui tentent eux aussi l’expérience de la relation libre, de la polygamie qui finit le plus souvent par l’échec.