Schéma table ronde
Le narrateur raconte l’histoire de la veille du jour de l’an de grâce de 1858 chez le père Joseph Hervieux où le grand-père raconte l’histoire de sa rencontre avec le fantôme de l’avare, il y a de cela soixante-dix ans.
Narrateur :
Le narrateur du récit premier est extradiégétique car il n’est pas personnage d’un récit précédent.
Il est homodiégétique car il fait partie de l’histoire qu’il raconte. Il affirme : «je me trouvais en veillée chez le père Joseph Hervieux. Il fait donc partie de l’histoire qu’il va raconter.
Narrataire :
Les vieillards et jeunes gens qui connaissent le père Joseph Hervieux.
Justification : le narrateur dit : «je me trouvais en veillée chez le père Hervieux, que vous connaissez tous…»
Récit deuxième :
Le vieillard raconte une histoire d’il y a 70 ans. Il était parti faire des achats et sur la route du retour, il s’est complètement égaré en raison d’une tempête. Il s’est approché d’une maison pour demander de l’aide. C’est ainsi qu’il rencontra l’esprit de Jean-Pierre Beaudry.
Narrateur :
Le narrateur du récit premier donne la parole au narrateur deuxième en stipulant : «le vieillard approcha son fauteuil du poêle et s’exprima en ces termes…»
Le narrateur du récit deuxième est le grand-père, ancien maître d’école.
Il est intradiégétique puisqu’il fait partie du niveau de récit précédent.
Il est homodiégétique puisqu’il fait partie de l’histoire qu’il raconte. Il s’exprime en «je».
Narrataire :
Les membres de la famille (parents et jeunes gens) à la veille du jour de l’an 1858 chez le père Joseph Hervieux.
Justification : une jeune fillette dit : «grand-père redis-nous l’histoire de ta rencontre avec l’esprit de ce pauvre Jean-Pierre Beaudry.»
Récit troisième :
Jean-Pierre Beaudry raconte son histoire, d’il y a cinquante ans, lorsqu’il avait refusé d’ouvrir la porte à un voyageur épuisé par le froid. C’est en raison de cela qu’il a été condamné.
Narrateur :
Le narrateur deuxième donne la