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817 mots 4 pages
dcvfbghnju,uEn 1990, la loi Gayssot fait de la négation des crimes contre l’humanité un délit. La loi s’affirme ainsi comme instrument de mémoire, en condamnant la perversion de cette dernière.
L’État encourage des journées commémoratives pour empêcher l’oubli : le 16 juillet devient une journée nationale des persécutions racistes et antisémites commises sous l’autorité de fait dite « gouvernement de l’État français ». Le 16 juillet 1994, un monument commémoratif est inauguré à l’emplacement du vélodrome d’Hiver.
La mémoire du génocide tend même à devenir plurielle, car on assiste au réveil de la mémoire d’autres communautés oubliées ou occultées jusque-là, même si leur extermination n’a pas toujours eu le côté « systématique » de celle des Juifs : Tziganes, noirs, homosexuels, témoins de Jéhovah… En France, trente mille Tziganes ont été internés dans des camps. Pourtant, ils furent parmi les « oubliés » du procès de Nuremberg, car aucun Tzigane n’a été appelé à témoigner. Il faut attendre 2008 pour qu’une loi soit proposée au Sénat pour commémorer cette mémoire.jhygtzdefrgtbnhyujyhgtrfedzrftgyujikolpikujhygtrftghyujikolp- molikujhygtrfeftghyujikolpmôlikuy En 1990, la loi Gayssot fait de la négation des crimes contre l’humanité un délit. La loi s’affirme ainsi comme instrument de mémoire, en condamnant la perversion de cette dernière.
L’État encourage des journées commémoratives pour empêcher l’oubli : le 16 juillet devient une journée nationale des persécutions racistes et antisémites commises sous l’autorité de fait dite « gouvernement de l’État français ». Le 16 juillet 1994, un monument commémoratif est inauguré à l’emplacement du vélodrome d’Hiver.
La mémoire du génocide tend même à devenir plurielle, car on assiste au réveil de la mémoire d’autres communautés oubliées ou occultées jusque-là, même si leur extermination n’a pas toujours eu le côté « systématique » de celle des Juifs : Tziganes, noirs, homosexuels, témoins de Jéhovah… En France, trente

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