Séance 2 TD public

Il n’y a pas de déf’ générale de la légitimité, cette notion varie donc selon les auteurs. La notion de pouvoir, l’auteur arrive au constat selon lequel il y a trois perspective, trois def possible du pouvoir. La déf qui nous intéresse est celle de la perspective interactionniste. Il s’agit de l’approche la plus intéressante car elle nous permet de saisir la relation entre différentes personnes. Selon cette déf’ le pouvoir s’exerce forcément sur quelqu’un et c’est donc le cas sur le pouvoir qu’exercent les gouvernants sur les gouvernés.

Si on définit la légitimité d’un pouvoir politique, c’est lorsque les idées du peuple sont en conformité avec les décisions prises au niveau étatique, cad par le gouvernement.
L’extrait du manuel de 1ère ES précise que la légitimité d’un droit ou d’un pouvoir ne suffit pas à le faire accepter, et que parfois à côté de cette légitimité doit coexister la force. Cette force doit permettre de faire accepter un pouvoir. Cet usage de la force est tout fois relativisé puisque l’auteur du texte cite Weber selon lequel il ne peut y avoir de domination durable sans une légitimité minimale. Autrement dit, la légitimité est un condition indispensable à l’exercice du pouvoir. Mais cette légitimité doit être complété par la force.
Il est cpt possible de faire un lien entre la légalité et la légitimité. La légitimité d’un gouvernement réside dans l’approbation de ses décisions par le peuple, mais un décalage peut se produire entre la légalité et la légitimité. Un gouvernement légal à l’origine peut devenir illégitime lorsque sa politique ne coïncide plus avec l’opinion publique et à l’inverse il peut y avoir un gouvernement légitime mais illégal. Dans ce cas, la légitimité précède la légalité mais cette légalité devra intervenir a posteriori.
D’autres auteurs comme Jean Ribero (?) il n’y a pas de dissociation possible entre légitimité et légalité. Le pouvoir légitime est celui qui est né selon les règles constitutionnel