Secteur bijoux
Les fêtes traditionnelles représente 50% du chiffre d’affaire des bijoutiers avec en première ligne Noël, la Saint Valentin et la Fête des Mères.
Chiffre d’affaires :
5,2 milliards d’euros en 2009 (-2% par rapport à 2008) : baisse du chiffre d’affaire mais le nombre de pièces vendues augmente :
Hypothèses :
- Baisse du panier moyen
- Achats en promotion, réductions, etc.
La Crise n’a pas épargné la bijouterie, cela dit la France s’en sort relativement bien par rapport aux autres pays de L’UE, et la bijouterie fantaisie a le vent en poupe!
Prix moyen du bijou :
204 euros pour le bijou en or (augmentation en 2009 liée à l’augmentation du prix de l’or) alors que le prix moyen du bijou en argent a diminué (et les ventes ont parallèlement augmenté).
Concrètement on assiste à un réel succès des bijoux en argent et des bijoux meilleur marché.
Stratégie multicanale : on note une vitalité du e-commerce
Enjeux : amélioration et personnalisation de l’offre et diversification sur de nouveaux segments (notamment cible des hommes)
SWOT
Forces
- Dynamique de croissance au cours des dernières années
- Pour les maisons diversifiées la sous-traitance (Chanel), voire la licence (cf. Hugo Boss, Armani, Versace), constituent des solutions pertinentes
- Rajeunissement de l’offre
-
-
-
-
Faiblesses
- La nécessaire mise en place de collections plus créatives dans un contexte d’accroissement de la pression concurrentielle
- Une accélération des rythmes de collection
- L’enjeu créatif s’est renforcé (innovations produits, gestion des collections, etc.) (exemple : Mauboussin met de nouveaux modèles sur le marché tous les trois mois)
- Peu d’acteurs ont une taille mondiale
- Faiblesse des ventes sur internet (pas d’essayages possibles, mauvais rendu de la qualité du bijou sur écran)
Opportunités
- Beaucoup de maisons ont fait des bijoux un axe de diversification
- La cible