Selon Standhal
Certaines œuvres s’inspirent sur des coutumes ou des faits de société d’une époque, comme par exemple le fonctionnement de la justice dans le dernier jour d’un condamné de Victor Hugo où l’on apprend plus sur la peine de mort dans le XIXe siècle. Cela peut nous faire voyager, car au temps d’aujourd’hui, la peine de mort ne se pratique plus. On peut aussi connaître d’autres pays, comme par exemple la voie royale, la condition humaine de Malraux qui s’inspirent de ses voyages en Indochine dans les années 1930. D’ailleurs, un romancier s’inspire d’histoires familiales qu’il peut vivre ou connaître, comme par exemple Balzac, Maupassant avec Pierre et Jean, dont l’histoire raconte un secret familial qui peut exister à l’époque de Maupassant ou même Madame Bovary de Flaubert dont il s’est inspiré par des fait divers. Une œuvre peut aussi reproduire des pensées, des sentiments ou des impressions de quelqu’un d’autre et être au plus près de ce qu’il ressent comme dans le dernier jour d’un condamné où le condamné exprime ses sentiments avant ses derniers jours de vie. Cependant, une œuvre peut reproduire de manière très détaillée ou même précise ce qui existe à l’époque où un livre est composé, on le voit chez Zola dans le travail dans les mines au XIXe siècle dans son livre Germinal. Il y a aussi des descriptions de lieux, de personnages, cela peut des fois un moyen pour refléter le réel, comme chez Balzac dans le père goriot où il y a une description très précise de Paris.
Pourtant, Stendhal n’a peut-être pas raison, un roman ne copie pas forcément la réalité. Un romancier ne peut pas