Separes par l'ocean
Avant tout, à l’instant où le professeur nous a introduit le nouveau livre qu’on allait lire dans son cours, j’allais m’arracher les cheveux de la tête pour la raison qu’il y a peu de livres qui peuvent m’intéresser. Le titre de ce roman m’a moins donné le goût de le lire, le nom de l’auteur me semblait étrange et, surtout son nom de famille que je n’avais jamais entendu auparavant. En observant l’image du livre, j’ai conçu qu’elle avait l’air vieille et cela me captivait. Son épaisseur ne m’inquiétait point car, le livre n’était pas gros et je n’allais pas passer beaucoup de temps à le lire.
Ensuite, en lisant le début de l’histoire, je réalisais que je ne comprenais quasiment rien. À chaque quatre, cinq mots, il y avait un mot complètement insolite, qu’il fallait que je cherche la définition dans le dictionnaire. Les noms des personnages étaient aussi bizarres comme Camille, qui était effectivement un homme. L’auteur faisait une description tellement précise des personnages, que je pouvais bien les imaginer dans l’histoire. Par exemple, Thérèse était laide et pâle, ayant un long nez. Le roman ne contait pas beaucoup de personnages donc, je ne me suis pas confondue à ce sujet.
Par ailleurs, j’ai trouvé cette histoire intéressante car il y avait un mélange de plusieurs genres. Elle comportait de l’amour entre Laurent et Thérèse, de la haine et des complications aux rencontres de ceux-ci. Après, un meurtre causé par Laurent et deux suicides à la fin. J’ai remarqué que l’histoire m’a aussi capté pendant les actions puis j’ai appris de nouveaux mots. La fin inattendue, m’a plutôt découragée parce que je m’attendais qu’elle se termine d’une façon plus gaie mais, Laurent et Thérèse se suicidèrent sous les yeux de Mme Raquin, paralysée, étant ravie. Le Pont Neuf et la boutique comme étant les lieux