Sept filles
Bon jour, je suis en Seconde 6 du Lycée André-Maurois de Bischwiller. Je m’appelle FRITSCH Nicolas. J’écris cette lettre car votre style d’écriture me donne envie de lire et que je l’apprécie. Je voudrais en savoir plus sur ce qui vous inspire, d’où viens cette inspiration.
Dans vos nouvelles, vous parlez très souvent de l’Algérie. Pourquoi surtout parler de la guerre d’Algérie ? Dans « La fille dans l’arbre », la fille se fait violer par des soldats français, les soldats sont même comparés a des bêtes sauvages. Vous parlez aussi des femmes lors de cette fameuse guerre. « La fille et la photographie », où là vous mélangez très bien les personnages, on s’y perd ce qui nous donne envie de relire pour comprendre qui est qui. Vous parlez beaucoup des femmes algériennes, qui doivent faire la cuisine, qui doivent rentrer dans l’idéologie comme le montre la nouvelle « La fille dans les collines » ou « La fille au hijeb ». Vous parlez du Maquis, dans la nouvelle « La fille avec des Pataugas ». Je me demande pourquoi parler autant de la guerre d’Algérie ? Avez-vous était autant marqué par cette guerre ?
J’ai été très choqué en lisant « La fille dans l’arbre », comprendre mieux ce que les soldats faisaient pendant la guerre. Ou voir ce que les femmes doivent supporter, être dans une idéologie macho, où les femmes doivent respecter beaucoup de règles alors que les hommes, eux, peuvent faire plus de choses que les femmes. Dans « La fille des collines », la fille sort de cette idéologie, elle aime courir et elle court, même si des rumeurs en quoi elle doit être tuée circulent. Même sa mère approuve ce qu’elle fait, et elle si fait.
La guerre d’Algérie a dû être terrible. Obliger des femmes pour faire des papiers « La fille et la photographie », violer des enfants « La filles dans l’arbre ». D’où vous viens cette inspiration