Ses cours
Introduction
Doc 32p157
1) « Si il y avait égalité parfaite »
On parle de l’égalité des chances parfaite
Si égalité parfaite en terme de chance entre les individus il y aurait aucun lien entre notre origine sociale (milieux sociale de nos parents ascendant) et notre position sociale.
Exemple : les enfants de cadres et les enfants d’ouvrier ont les même chance de devenir cadres tout comme ils ont les même probabilité de devenir ouvriers
Ceux qui réussissent sont ceux qui ont des talents, effort mérite sérieux
Ca n’est pas du d’une sorte d’avantage qui proviendraient de leur parents
Cependant l’égalité parfaite des chances n’existe pas
Notre trajectoire sociale va dépendre fortement va dépendre de notre origine sociale ( ceux qui viennent de milieux favorisé soit un milieux sociale défavorisé : handicap
2) même si il y a égalité des chances (les enfants de milieux populaire ont autant de chance de réussir que dans les milieux aisés) il y aura toujours inégalités sociales (exemple : le cadre aura toujours un salaire plus élevé que l’ouvier, un métier plus prestigieux que l’ouvrier, le cadre un patrimoine plus élevé que l’ouvrier)
Conséquence : il y a toujours une hiérarchie entre les statuts sociaux mais l’accès entre les différents statuts(statuts les plus prestigieux, valorisé) sont les même pour tous les individus
3) IL faut que les inégalités soient légitimes = justifier
La légitimité des inégalités provient en la croyance des inégalités des chances :
* on accepte les inégalités de salaires entre cadres et ouvrier si tout les individus ont eu les même chances de devenir cadres
* pas accepter si on pense qu’il n’y a pas eu inégalités des chances et que certains individus qui ont eté favorisé
DEUX choses expliquent ces avantages : * la famille peut expliquer la réussite de l’enfant * fréquenté des écoles meilleurs
« Les inégalités de condition