Synthèse : Chapitre introductif

A travers l’exemple du tatouage apparaît les différentes facettes qui relient tous les individus dans la société occidentale. Celles-ci peuvent apparaître sous trois formes distinctes comme le lien social, marchand et politique. Comment le tatouage peut donc tisser ces liens entre les individus et ainsi participer à la régulation du fonctionnement de la société sous les trois formes évoquées ?
Le tatouage constitue une activité régulée par des normes sociales. De ce fait, la pratique du tatouage peut susciter différentes réactions suivant les normes. Celles-ci varient selon la société et l’époque. Autrefois, le tatouage était perçu comme une image négative souvent associée et stigmatisée par rapport aux individus en marge de la société, et aux milieux marginaux eux-mêmes perçus négativement. Cependant, de nos jours, la représentation négative du tatouage a évolué et s’est banalisé. En effet, cette pratique s’est démocratisée dans les plus jeunes générations. Le tatouage ne choque plus, il devient un phénomène de mode, une volonté de se distinguer ou sert comme usage commémoratif. Malgré cette évolution il persiste toujours un rejet venant des plus vieilles générations. (Lien social)
Aujourd’hui, environ 2000 entreprises sont implantées en France. Le tatouage fait donc l’objet d’un véritable marché où l’ensemble des relations entre les demandes et les offres (biens et services) déterminent la quantité et le prix. La formation des tarifs se fait à partir de l’importance du coût du travail parfois très élevé mais aussi du capital (comme les machines et le local) et des consommations intermédiaires. (Encre...) Distinction donc entre les coûts fixes et les coûts variables. Apparait alors la concurrence (monopolistique également) entre les tatoueurs, principalement liée aux bénéfices réalisés, mais aussi à la segmentation du marché, à la stratégie commerciale … Elle se limite cependant légèrement par le manque d’information sur le