SES
Conso et épargne :
1) L’épargne
-partie du revenu disponible qui n’est pas consacrer immédiatement à la consommation.
3 formes d’épargnes :
- l’épargne de transaction (achat futur)
- l’épargne de « précaution »
- l’épargne de spéculation (fluctuation argent)
Les deux premiers types d’épargne dépendent du revenu alors que l’épargne de spéculation dépend du taux d’intérêt.
Plus le revenu augmente plus la propension à épargner augmente.
2) La consommation
On constate qu’il existe des dépenses contraintes (loyer, facture eau…), incontournables (titre de transport, facture téléphone…) et des dépenses facultatives (écran plat, vacances…).
XIXème siècle : Loi Engel  plus le revenu augmente plus la part consacrée à l’alimentation diminue et plus la part consacrée aux loisirs augmente. Les dépenses d’habillement et de logement restent stables. Keynes (loi psychologique de la conso)  plus le revenu augmente, plus la conso augmente mais dans une proportion moindre.
La consommation reflète une position sociale car chacune des classes sociales à une conso différente, une conso spécifique. Certains individus de la classe moyenne cherchent à imiter la classe supérieure.
Les variables influant la conso des ménages sont :
-l’inflation
-les taux d’intérêts (intervention de l’état)
-les origines
-les religions
-la catégorie socioprofessionnelle
Si inflation ou augmentation taux d’intérêt alors baisse conso.
Pour inciter à consommer, on utilise la publicité. Elle va nous faire acheter des choses dont on n’a pas forcément besoin et elle suggère que « l’on peut vivre sans acheter ». Elle est absolument partout et tout le temps.
On va inciter des gens qui n’en ont pas forcément les moyens d’acheter une nouvelle chose dont ils n’avaient pas besoin dix minutes auparavant (99 Francs).
Elle pousse l’acheteur à s’identifier.
En 1957, Friedman (anti-keynésien) va montrer que la conso dépend du revenu anticipé (ex : hausse impôt  baisse conso)

Bilan :
Dans notre société, la conso va