Sexisme
Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation ou identité sexuelle, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.
Constitue également une discrimination toute distinction opérée entre les personnes morales à raison de l'origine, du sexe, de la situation de famille, de l'apparence physique, du patronyme, du lieu de résidence, de l'état de santé, du handicap, des caractéristiques génétiques, des mœurs, de l'orientation ou identité sexuelle, de l'âge, des opinions politiques, des activités syndicales, de l'appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée des membres ou de certains membres de ces personnes morales.
Dès les premières années de sa vie, selon que le jeune enfant est une fille ou un garçon, ses faits et gestes seront interprétés différemment par les adultes qui l’entourent, et en premier lieu par les parents qui réagissent de manière différenciée en fonction du sexe de l’enfant dès son plus jeune âge. Les pleurs d’un nourrisson de sexe masculins seront plutôt attribués comme de la colère tandis que ceux des filles seront plus souvent attribués comme étant de la peur. Nous qualifions plutôt un garçon de grand et une fille de mignonne, gentille.
Dès l’adolescence l’enfant veut prendre son indépendance, il le montre notamment par le commencement de petits boulots pour acquérir un argent de poche et une sorte de responsabilisation. On retrouve une forte opposition suivant le sexe. Les filles