Sherlock holmes
Après sa disparition en 1891, suite à son affrontement et la mort du professeur Moriarty dans les chutes de Reichenbach, tout le monde le croit mort (Le dernier problème (1891).
Holmes refait surface trois ans plus tard dans (La Maison vide). Il raconte qu'au cours de ces années (période appelée le "grand hiatus"), il a pris une fausse identité, celle d'un explorateur norvégien, et s'est rendu à Khartoum, dans le palais même où Gordon Pasha fut assassiné. Holmes justifia sa disparition par le fait que son coup de filet contre le professeur Moriarty laissa un membre dangereux de sa bande en liberté, le Colonel Sebastian Moran[7]. Ce dernier, exécuteur des basses œuvres de Moriarty, avait réussi à échapper à toute mise en accusation lors de l’élimination du réseau criminel du professeur. Il avait suivi son mentor aux chutes de Reichenbach. Après avoir été le témoin de la mort de son chef, causée par Holmes, Moran avait essayé de tuer le détective en provoquant une avalanche de roches sur lui. Holmes réussit cependant à y échapper. Moran se jura de tuer Holmes, mais celui-ci fit tomber Moran dans un piège, provoquant son arrestation.
Il reprend donc du service de 1894 jusqu’en 1903.[réf. nécessaire] Il reçoit la Légion d'honneur en 1894, mais refuse le titre de chevalier en 1902.
S'ensuit une retraite à la campagne[Quand ?], où Holmes passe ses dernières années à étudier les abeilles et à écrire un traité d'apiculture. Il sortira de cette activité pour narrer lui-même une aventure (La crinière du lion), ayant peu de contact avec le docteur Watson[8], et pour rendre service à son pays à la veille du premier conflit mondial en déjouant les ruses d'un espion prussien (Son dernier coup