Simulation la pimpolaise
A) Madame Hélène Lavigne-Tremblay
Pour elle, le problème est simple : les ventes sont trop basses. Les installations sont sous-utilisées. Elle pense que les banquets représentent un potentiel plus grand que la salle à manger. Elle croit que si elle avait eu plus de temps pour les gens qui téléphonent pour les banquets, et si elle avait été meilleure vendeuse, elle aurait pu obtenir des ventes plus élevées. Elle croit que la raison du manque de clientèle n’est pas une question de prix, car les spéciaux du menu sont les repas qui se vendent le moins.
B) Monsieur Georges Valéry
Il pense qu’ils devraient mettre l’accent sur d’autres genres de réceptions et de banquets que les noces. Il est convaincu qu’il y a un bon potentiel chez les entreprises, les associations, les syndicats, etc. D’après lui, c’était une mauvaise décision de faire relâche le lundi. Par exemple, en étant fermé à la fête du travail en 1997, ils on dû perdre plusieurs milliers de dollars.
C) Monsieur Jules Joubert
Il pense qu’ils ne devraient pas couper la publicité, car les ventes risquent de baisser. De plus, il croit qu’il y a sûrement possibilité d’accroître les ventes de banquets et réceptions à d’autres moments de l’année qu’en juin et juillet, et à d’autres jours de la semaine que le samedi. Il a observé que de plus en plus de clients leur demandent de préparer des buffets froids qu’ils viennent chercher eux-mêmes pour des réceptions à la maison ou au bureau. Il pense que le restaurant pourrait avoir une petite boutique avec boulangerie, charcuterie et pâtisserie.
Il préfère avoir une clientèle âgée de 25 ans et plus, car ils ont d’après lui plus d’argent et des goûts plus raffinés. De plus, ils boivent plus, et l’alcool est plus payante que la nourriture. Il croit lui aussi que c’était une mauvaise chose que de faire relâche le lundi, ainsi que de fermer à minuit depuis 1994. En fermant à cette heure, ils ont perdu la clientèle qui venait prendre un verre ou un repas