La France est un pays exceptionnel par rapport aux autres pays. Ça veut dire exceptionnel dans plusieurs domaines ; le domaine de politique, avec leur cohabitation, du système social étant un État-Providence, de la gastronomie avec les plats traditionnelles comme le ‘pot-au-feu’ ou ‘tarte tatin’ et de la culture, avec l’exception culturelle. Tous ces domaines sont aussi en mixage. Où d’autre peut-on trouver un Président de l’État qui a aussi écrit des livres ? Ainsi, la France fait beaucoup d’efforts pour protéger cette exceptionnalité. Surtout sur le domaine de la culture, avec la demande de l’exception culturelle, aussi connu sous le terme ‘diversité culturelle’. La globalisation a eu une grande influence sur la distribution de la culture. L’Amérique est le plus grand exportant des films, à Hollywood sont produits ses films. Ça fait une menace pour des producteurs moins grands. Comment peut-on préserver leur propre culture dans un monde tellement globalisé et comment peut-on combattre un débordement de l’influence américaine ? La France a l’essayé, avec la notion de l’exception culturelle. On est en faveur de sauvegarder la diversité culturelle, et contre une culture unique. Comme disaient Marie-Claube Tjibaou et Paul Vergès dans un article dans le Monde : « Culture unique = mort de toute culture ».1 Mais il y a aussi ceux qui sont pour libérer le marché et ouvrier les frontières. L’exception culturelle, est-elle une bonne manière de protéger la culture française? Ou encombre-t-elle seulement le développement de la culture française par une exclusion des autres cultures ? Ce qu’on doit faire, selon l’écrivain d’article Pourquoi la culture française n’est pas universelle dans l’Événement du Jeudi « c’est de se libérer […] Pour réapprendre à conquérir le monde ».2 Dans cet essai, j’essaye d’expliquer comment l’exception culturelle est évoluée, quelle influence la globalisation a eu et ce qu’il reste encore de l’exception culturelle aujourd’hui. Premièrement je