Situation relationnel en medecine geriatrique
situation de stage S2 , stage numéros 2
J’ai été affilier durant ces 5 semaines de stage au service de soins de suite et rééducation à l’hôpital georges claudinon situé au chambon feugerolles.
Ce service de moyen-séjour est spécifique en médecine poly pathologiques gériatrique. Il comprend 26 lits avec des personnes âgées en moyenne de 80 a 96 ans. ( chambre 301 a 319 )
Les pathologie principales sont souvent les suites d’une première hospitalisation du type : rabdomyolise , altération de l’état général , risque de chute +++ , maintient au domicile difficile , artériopathie , risque de phlébite , décompensation cardiaque et respiratoire.
Ce jour là , lors de mon premier poste du soir je débutai mon tour au coter de l’infirmière pour la distributions des traitements de seize heures et la surveillance des patients par la prise de constante prescrite du médecin.
J’entrais alors dans la chambre de ma patiente attitré, Madame A , 87 ans , en surpoids, cheveux court , yeux marrons ,d’origine espagnole, situé en chambre double numéros 304.
Ma patiente est rentrer le 3/01/2013 , pour décompensation cardiaque avec une artériopathie sévère des membres inférieurs , et un importants risque de phlébite ( le doppler est alors en cours )
Et c est lorsque je m’apprêtais a rentrer la chambre avec le dynamap que je trouve ma patiente en compagnie de ca famille , il y avait ces deux filles et petits fils au nombre total de 4.
L’ambiance étais triste et pesante, l’une des fille pleurait et me demanda d’un ton sec et froid avec l’accord de sa mère , de sortir de la chambre en me demandant de revenir dans 10 minutes.
Je ressort naturellement de la chambre , mal a l’aise de les avoirs déranger dans un moment que je décrirais comme familiale et solennel.
Je retourne voir l’infirmière qui me demande les constantes de Madame A. je luis explique la situation c’est alors qu’elle énonça d’un ton énerver « on a pas de temps a perdre ,