Filles – garçons : socialisation différenciée ?

Référence à Anne Dafflon-Novelle (2006). Filles – Garçons. Socialisation différenciée ? Grenoble : presses universitaires de Grenoble.
Et à Yannick Lemel, Bernard Roudet (1999). Filles et garçons jusqu’à l’adolescence. Socialisation différentielle. Paris : éditions L’Harmattan.

1. La socialisation des filles et des garçons au sein de la famille
Référence à la synthèse réalisée par Véronique Rouyer et Chantal Zaouche-Gaudron dans l’ouvrage de Dafflon-Novelle (p. 27-54).

1. Comment se représente-t-on l’enfant avant la naissance ?
Des expérimentations ont menées par des psychologues ont permis de mettre en évidence la manière dont les adultes se comportent a priori avec l’enfant selon qu’on leur présente comme une fille ou un garçon.

2. L’environnement familial peut-il constituer un milieu « différenciateur » ?
Dès la naissance, les parents ont tendance à créer un environnement spécifique pour chaque sexe.

3. Les pratiques éducatives des parents
L’implication des pères et des mères est différente et ceci en fonction du sexe de l’enfant.
Importance des modèles d’identification que représentent les parents pour les enfants.

4. Entre parents et enfants : quels types d’interactions ?
Dans ce domaine-là, on note également des différences importantes entre pères et mères, en fonction du sexe de l’enfant.

En résumé, on observe que dès la naissance, les garçons et les filles font l’objet d’appréciations et d’attentes différenciées de la part de leur entourage familial.
Il existe des pratiques de socialisation différentes selon le sexe qui se manifestent dans divers domaines : - les interactions ; - le langage ; - les conduites motrices ; - les apprentissages cognitifs.

1. Education préscolaire : filles et garçons dans les institutions de la petite enfance
Référence à la synthèse réalisée par Eliane Ferrez, dans Dafflon-Novelle, p. 69-83.

1. Les interactions enfants –