Je suis à l’arrêt d’autobus à l’intersection Chemin Sainte-Foy et Rue Marois. J’attends le parcours numéro 7 en direction de Cap-Rouge, où je vis. Huit personnes sont aussi à l’arrêt, soient 5 filles et 3 garçons. L’autobus arrive au bout de quelques minutes. Tous les neufs entrons dans celui-ci. Ils utilisent tous une carte à puce Opus pour avoir accès au transport à l’exception d’une seule personne, qui remet trois dollars au chauffeur et demande : «Est-ce que je pourrais avoir un transfert s’il vous plaît?»

L’autobus a des dimensions d’environ 10 mètres de longueur et 3 mètres de largeur. Une porte est située au-devant de l’autobus et l’autre au milieu de celui-ci. Les gens doivent payer leur transport en rentrant par la porte de devant, soient par la carte Opus ou par de l’argent directement versé. Environ 30 bancs sont mis à disposition des voyageurs. Ceux-ci sont bleus. Plusieurs piliers verticaux et horizontaux sont aussi disponibles pour garder son équilibre lorsque tous les bancs sont occupés. Des boutons rouges indiqués «Arrêt» sont aussi mis à dispositions des passagers pour demander l’arrêt auquel ils veulent descendre. J’ai observé qu’il y en avait douze, soient huit sur des piliers verticaux et quatre à proximité des fenêtres sur les murs de l’autobus. Des annonces couvrent l’intérieur et l’extérieur de l’autobus. Sur les deux côtés extérieurs de l’autobus, celles-ci ont comme sujets la nouvelle sortie du film Bienvenue chez les Miller. Derrière celui-ci, c’est plutôt une annonce du Grand Rire de Québec avec en vedette l’humoriste Martin Matte. À l’intérieur, il y a plusieurs annonces sur la prévention de maladies comme la sclérose en plaques et le cancer du sein. Il fait chaud dans l’autobus mais quelques fenêtres sont ouvertes malgré cette journée pluvieuse. Plusieurs odeurs de parfums règnent dans l’air ainsi que le ronronnement du moteur.

Je n’ai pas de place assise du au trop grand nombre de gens déjà présents dans l’autobus. Je suis