Définition du capitalisme : il est défini par l’existence d’entreprises dont le but est de faire le maximum de profit et dont le moyen est l’organisation rationnelle du travail et de la production.

L’idéal-type de l’éthique protestante :
Prédestination
Dieu a prédestiné les Hommes au salut ou à la damnation ; rien ne peut le changer. L’individu est angoissé de ne pas savoir quel est son sort (sauvé ou damné) et cherche donc des signes d’élection d’où son surinvestissement dans le travail (où la réussite et la richesse est signe d’élection). Il s’occupe de son salut en s’investissant dans sa vie professionnelle ; d’où : nouveau style de vie
(épargne ; plus de condamnation morale de l’enrichissement,…).
Vocation
L’Homme doit travailler à la gloire de Dieu sur terre (appel à réaliser ce que
Dieu attend de l’Homme DANS le monde et non pas en dehors)
Théologie morale
Parfaire légitimité de s’enrichir pour autant que l’on s’ abstienne de jouir de cette richesse (DONC : le réinvestissement des bénéfices dans l’entreprise est encouragé, ainsi que l’épargne).

 - éthique du métier (‘vocation’) - aspect rationnalisateur des conduites quotidiennes (prédestination)

Le fait que chacun soit seul devant Dieu favorise, par ailleurs, la montée de l’individualisme. L’Homme devient un ‘ascète dans le monde’ ( cf. idéal-type du puritain qui valorise le travail, se contrôle et renonce à la consommation).

A mesure que se généralise l’ethos, on en oublie les racines religieuses ; la rationalisation des pratiques sociales prend une dynamique autonome.

L’étude faite est la preuve que la direction de l’intérêt de chacun est commandée par sa vision du monde

 la conduite économique est fonction d’une vision du monde et l’intérêt que chacun prend à telle ou telle activité devient inséparable d’un système de valeurs ou d’une vision de l’existence.
Au cœur du changement social se trouvent les valeurs (c’est-à-dire, ce qui fait sens pour des acteurs historiquement situés]. La