Chapitre II -> Société et culture de l’E. médiévale.
I – Phase d’essor en Europe.
- Essor démographique car croissance de la pop° qui est essentiellement rurale (90%). Dvpt des campg, amélio°, du rendt agricole, organi° d’un syst seigneurial (seigneurs possèdent la T & font la G = dominent les paysans).
- Essor économique car des échanges se multiplient entre les campg et les villes marchandes* (*= s’enrichissent et de + en + de monde).
- Essor culturel car le Christianisme s’impose, domine l’E, marque son empreinte sur le calendrier, le comportement (fêtes religieuses, prières…) et le paysage (monastères, églises…). Culture courtoise chez les cavaliers, culture urbaine ds les universités (où il y a de gds savants), ds l’organi° politique des villes qui ont une certaine autonomie (deviennent des centres intellectuels).

II – Société et culture urbaine. a-Pourquoi l’essor est urbain ?
Du XI° au XIII° s = progrès agricoles = ↗° de la pop° ; croissance urbaine.
↦ X° s = Commerce limité en Occ. Conso° sur place de la prod°.
A partir du XI° s = échanges de + en + fréquents = excédents agricoles vendus.

Appari° de besoins nvx = seigneurs veulent des épices, soieries, draps fins = importés de pays loin = + de routes maritimes & fluviales.
Dvpmt du comm. -> renaissance d’anciennes villes ou construction de nvlles ( près des routes de comm. Ou de carrefours de communi° )
Villes médiévales petites ( rarement > à 10 000 hbts) [Paris = exception -> 20 000 hbts fin XIII°s]
Villes italiennes ou flamandes parfois > 50 000 hbts (Gênes, Venise, Bruges, Gand)

b-Quelles activités en ville ?
Ville = Artisans, Commerçants. || Artisans = petits ateliers ouverts sur la rue. Maître + Compagnons + Apprentis. Artisans de même métier regroupés en 1 quartier. Parfois organisés en corporations de métiers* (*Très réglementée : durée de travail, salaire, prix etc.. : = Réduit la concurrence, protège l’artisan et le client mais empêche d’innover.) || Riches marchands vont