Introduction Dans le cadre de l’Unité d’enseignement 4.7 intitulé « Soins palliatifs et fin de vie », je vais réaliser une réflexion personnelle à partir d’un documentaire « Vivre le temps qu’il nous reste ».Dans la perspective de prendre soin, il est primordial de pouvoir accompagner les patients qui sont en fin de vie et qui bénéficient de soins palliatifs, dans l’optique d’avoir une vie digne jusqu'à la fin.Un encadrement législatif est prévu, concernant les soins palliatifs et la fin de vie.C’est …afficher plus de contenu…

Analyses A. Du processus de deuil aux valeurs professionnellesAfin de pouvoir accompagner une personne en fin de vie, il est important de maitriser les étapes du deuil :La 1ère étape est le déni, il s’agit du moment où nous ne sommes pas encore prêts à intégrer la réalité. C’est un mécanisme de « protection psychique » qui nous permet de faire face à des émotions trop fortes.La 2ème étape est la colère, contre le médecin, le défunt, nous même ou encore Dieu, montre l’intensité de l’amour que nous éprouvions pour le défunt. La colère est une phase importante dans le processus de guérison. Elle ne doit pas être réprimée, ni minimisée.La 3ème étape est le marchandage, qui va souvent de pair avec la culpabilité, ou nous voulons remonter le temps en imaginant des tas d’hypothèses qui auraient permis que l’être cher soit encore en vie. La 4ème étape est la dépression, qui doit être considéré comme une visiteuse selon les auteurs, car indispensable dans le processus de guérison. La 5ème …afficher plus de contenu…

En effet, les soins palliatifs sont dans une approche de tenir compte du patient dans sa globalité.Dans le concept de l’humanisme, nous voyons que lorsque qu’un patient sait qu’il est atteint d’une maladie incurable et qu’il n’y a plus rien à faire en termes de soins curatif, ses réactions peuvent être multiples. Il va mettre en place des mécanismes de défenses comme le déni, l’isolation, la régression, les rites obsessionnels, la sublimation ou la combativité…En cela, nous devons avoir la capacité de reconnaître ses mécanismes, afin de ne pas juger le patient. Et accepter quant bien même les réalités du patient ne font pas partie de notre vision de la vie. C’est en cela qu’il faut prendre en charge le patient dans sa globalité, tant sur le plan psychique,