Solution
La surabondance et l’omniprésence du luxe rendent son identité confuse. Le luxe donne l’impression d’être partout et accessible à tous. Le « faux luxe » se distingue aujourd’hui du « vrai luxe ». Il s’agit de retourner aux sources du concept pour en comprendre les signifiants. Derrière la logorrhée actuelle, se cachent bien des imprécisions.
Le luxe contient en lui une part de merveilleux et de sacré. Loin d’être superflu, le luxe s’impose comme un révélateur social, un raccourci métaphorique des sociétés actuelles.
Les tentatives de définition « absolues » du luxe lui sont toutes infidèles et intellectuellement impertinentes. Le luxe est, en lui-même, indéfinissable. Il s’agit plus d’une culture dont il faut au préalable appréhender les ressorts psychologiques et sociaux pour en déduire le paradigme.
« Nous ne sommes plus au temps de Madame de Sévigné. Le luxe absorbe tout : on le blâme, mais il faut l’imiter ; et le superflu finit pas priver du nécessaire . »
La surabondance et l’omniprésence du luxe rendent son identité confuse. Le luxe donne l’impression d’être partout et accessible à tous. Le « faux luxe » se distingue aujourd’hui du « vrai luxe ». Il s’agit de retourner aux sources du concept pour en comprendre les signifiants. Derrière la logorrhée actuelle, se cachent bien des imprécisions.
Le luxe contient en lui une part de merveilleux et de sacré. Loin d’être superflu, le luxe s’impose comme un révélateur social, un raccourci métaphorique des sociétés actuelles.
Les tentatives de définition « absolues » du luxe lui sont toutes infidèles et intellectuellement impertinentes. Le luxe est, en lui-même, indéfinissable. Il s’agit plus d’une culture dont il faut au préalable appréhender les ressorts psychologiques et sociaux pour en déduire le paradigme.
« Nous ne sommes