Sonnet sur la mort - sponde (1597)
Le poète s'interroge sur la conduite des mondains qui s'éloignent de la vie spirituelle pour satisfaire leurs préocupations matérielles.
I. Le sonnet au service d'une reflexion sur l'être humain
II. la perspective religieuse du sonnet.
I. Reflexion sur l'homme grace au sonnet :
--->Sonnet régulier de type francais :
- 2 quatrains 2 tercets
-rimes : ABBA / ABBA / CCD / EDE (embrassées, suivies, croisées ),
-Vert de 12 pieds = alexandrin (vers nobles)
---> Le poème illustre un thème baroque:
- fragilité de la vie,
-vanité de la vie humaine
--->Sonnet organisé sur une opposition entre les 3 premières strophes et le tercet final :
-unité syntaxiques des 3 strophes ( répétition "qui sont ..?", sous entendu dans le 2e quatrains, reprise au 1e tercet)
- emplois de la 3e personne du pluriel
-champs lexical du mouvement
- les temps verbaux (le conditionnel contrastre avec le présent
-métaphore filée de la navigation
- le ton : virulent, indigné (sériie d'interrogation)
Conclusion 1 : ainsi le sonnet oppose le poète qui cherche a donnerun sens a la vie ( et en ayant une réflexion sur la mort ) aux mondains prisonniers de la comédie sociale.
II. la perspective religieuse
---> les deux dernières strophes propose une évocation de la comédie humaine ( thème du theatrum mundi) : les libertins/ incroyants et les courtisans.
---> la fin du sonnet est marquée par un ton plus serieux, religieux : proclamation d'un acte de foi.
- le réseau lexical du déguisement : ("faces d'albatres" vers 5) , "fumée de cour" vers 7 qui évoquent l'illusion théatrale. la futilité du spectable mondain est mis en relief par le verbe "s'amuse" v.6 et le terme "fantaisie" v.11
- la dénonciation de la vanité de la vie terrestre passe par la critique des attitudes ddes courtisanq en quete d'honneurs factices : lexique de la flatterie : "idolâtre'