Sponsors * Sur la saison 2009-2010, la France est le pays qui a généré le moins de recettes liées au sponsoring maillot parmi les six nations étudiées.

Les clubs de football français sont les mauvais élèves de la classe européenne du sport-business. On s'en doutait un peu. La dernière étude publiée il y a quelques jours par le cabinet de conseil, Sport + Markt, le confirme. Concrètement, sur la saison 2009-2010, la France est le pays qui a généré le moins de recettes liées au sponsoring maillot parmi les six nations étudiées.
Avec un chiffre d'affaires de 37,8 millions d'euros, l'Hexagone fait même moins bien que les Pays-Bas (43 millions d'euros) qui ne compte pourtant que six millions d'habitants. Et la comparaison avec l'Allemagne champion toutes catégories du sponsoring maillot (108,6 millions d'euros) est quasi humiliante. Une situation qu'on retrouve au niveau des clubs. Le Bayern Munich touche 20 millions pour «vendre» son maillot à un annonceur. Cinq fois plus que Monaco, le club français le meilleur en matière de sponsoring.
Pour aggraver son cas, la France est la seule nation avec l'Angleterre à avoir enregistré une baisse de ses recettes (- 25% par rapport à la saison précédente). Un mouvement qui s'explique. «Les opérateurs de paris en ligne sont devenus le deuxième secteur le plus contributif concernant le sponsoring maillot en Europe, souligne Olivier Michel, directeur de Sport + Markt en France. Or ce secteur ne peut toujours pas faire de pub en France. En plus, les clubs de foot français sont moins experts que les autres européens pour prouver l'efficacité d'un sponsoring maillot. Ça fait la différence».

Aujourd’hui les sponsors des clubs prennet une plasse considérable dans le budget des clubs elle leur permet de » pouvoir de désendette ou meme d’investir dans des actions de ce sponsor ou encore de l’utilisé pourv leur budget consacré au transfert
Depuis 1995, et des budgets en constante augmentation, la part des salaires dans le