Introduction : Il y a quelques année encore, le sport était considéré comme une pratique purement masculine. À présent, le taux de pratiquants masculins et féminin est quasiment uniforme?. Mais on remarque avec le temps que certaines pratiques se trouvent être accessible qu'à un seul genre de personne. Exemple avec la danse et le football qui attirent réciproquement, particulièrement les filles et les garçons. Mais les exceptions ne sont pas pour autant inexistantes.
D'ailleurs, pourrait-on dire que de nos jours, la venue d'une femme dans un sport qui à priori ne lui serait pas destiné pourrait être accepté sans histoire ou au contraire, est-ce qu'il serait impossible que celle-ci ne puisse s'intégrer dans une pratique dit « masculine » sans que cela ne puisse paraître surnaturel?
Nous allons voir dans un premier temps comment s'effectue la socialisation inversée chez certaines femmes et comment celles-ci se voient exclues, rejetées par l'environnement dans lequel elles tentent de s'intégrer puis dans une seconde partie, nous nous intéresseront au fait qu'il puisse exister une sorte d'adaptation quasiment naturelle chez certaines exceptions.

I) La socialisation inversée + exclusions des femmes dans les sports masculins

La socialisation est le processus au cours duquel un individu apprend et assimile les normes et les valeurs tout au long de sa vie. Il construit son identité sociale. La socialisation favorise la reproduction sociale mais Les individus reçoivent des socialisations différentes selon leur groupe d'appartenance. Dans le cas présent, nous allons parler de socialisation inversée chez la femme. La socialisation inversée est comme son nom l'indique, le fait qu'une personne emprunte un chemin différents de celui des autres personnes, un chemin opposé, un chemin inverse.
Dans le monde du sport, suivre une socialisation inversée c'est prendre exemple sur un modèle masculin (qui peut être son père ou son frère par exemple) et ainsi le copier dans