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éopold Sédar Senghor est un célèbre poète et homme politique sénégalais née le 09 octobre 1906 à Joal et meure le 20 décembre 2001 à Verson en Normandie (France). Léopold Sédar Senghor a fait ses études à la mission catholique de Ngasobil, au collège Libermann et au cours d’enseignement secondaire de Dakar puis à paris, au collège Louis le Grand et à la Sorbonne. Il est reçut à l’agrégation de grammaire en 1935 tout en enseignant les lettres et la grammaire au lycée Descartes à Tour (1935-1938). Il fait partir des pères fondateur du mouvement de la négritude, un mouvement de revendication et de revalorisation de l’indenté culturelle nègre.
Des ce premier poème du recueille Chant d’ombre publié en 1945 par Léopold Sédar Senghor « IN MEMORIAM » à l’image de beaucoup d’autres poèmes ; offre au poète président à l’occasion de revoir (revisiter) les fameux thèmes de la mort. Ce poème est un vibrant et émouvant hommage que ce poète rend au mort à l’occasion de la Toussaint. Ce poème est divisible en trois partis : 1ère partie : du début jusqu’à 26 jusqu’à la fin/titre : la paix retrouvée
Explication détailléeok !
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1ère partie :
’emblée l’auteur impose le poème par la taille du 1er verset. C’est un verset court : « c’est Dimanche », on note l’apparition de la périphrase verset 1, ce jour là est souvent marqué par la solitude et le renfermement sur soi des êtres « j’ai peur de mes semblables aux visages de pierres ». Dans l’imaginaire du fils de JOAI, à travers l’hyperbole, verset 2, la froideur des hommes blancs et du Nord (c'est-à-dire l’absence de sensibilité) en général devient le symbole d’un bruissement hostile conduisant à une rupture de communication. L’absence de chaleur est d’autant plus pesante que l’Afrique est tout ce qui le conduit à l’isolement dans ce « tour de verset ». Vivant ainsi ses maux augmentent et persistent au point qu’il les assimile à des « migraines ». Voilà pourquoi il invoque les «