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Passage : p 339 à 400 ; « Il se turent un instant » à « dans la terre »
Introduction :
Ce passage est un texte naturaliste, du XIX° de Zola (auteur naturaliste du XIX°), qui évoque la mort de Claude Lantier, ainsi que certain souvenirs.
Dans un premier temps, nous évoquerons la mort de Claude à travers la description de la ville de Saint-Ouen, puis nous discuterons d'un bref passage sur ses souvenirs.
Dans un second temps, nous parlerons de l'opposition de Sandoz face aux critiques de ses confrères et de l'entourage de Claude.
Pour finir, nous annoncerons les raison pour lesquels, ses amis regrettent qu'il n'est rien laissé de lui.
Problématique :
Tout le long de cette œuvre de Zola, Claude était décrit comme un artiste incompris, et souvent critiqué pour ses nouveautés.
En quoi ce passage, montre-t-il qu'il aurait pu apporter une réelle évolution dans la société ?
Claude : un véritable artiste est mort
a) La ville de Saint-Ouen :
« Campagne rase » l.2 ; « fleuve de boue » l.3 ; « Des chevaux de bois {…} sous l'abandon de l'hiver » l.9-10 ; « des guinguette vide » l.10 ; « des balançoire verdi » l.11 ; « d'une tristesse noir, entre ses treillages arrachés » l.12-13 : Champs lexical du temps qui passe, de la vieillesse et de l'abandon. —> ville, décrite comme étant triste et morte (comme claude) ,vielle sans que rien ne change → Claude n'ayant laisser aucune trace de lui → rien ne changera il restera toujours aussi incompris. (idée mise en arrière-plan)
Principale axe de lecture (l.1 à 13) → Reflet noir et triste de ville, évoquant de manière déguiser la mort de Claude.
b) L'évocation des souvenirs : une impression de renaissance de lui et de son talent.
« Oui, oui, le gaillard n'était pas une bête. Un grand peintre simplement » l.20-21 ; « Des morceaux extraordinaire » l.15-16 ; « une étude magistrale » l.19 ; « Que pas un de nos jeunes maître n'est pas fichu de peindre » l.19-20 → Vocabulaire