Stupeur et tremblement
______________________________
[pic]
_________________________
Par Christine KOZIENIAK
N° Auditeur : B132764
chaire développement des systemes d’organisation
Cours de Monsieur Yvon PESQUEUX
Paris, le 08 fevrier 2010
Sommaire
I .Bibliographie de l’auteur
II. POSTULATS
III. HYPOTHESES
IV. DEMONSTRATION
V. RESUME DE L’OUVRAGE
VI. DISCUSSION ET CRITIQUES
VII.ACTUALITES DE LA QUESTION
VIII. BIBLIOGRAPHIE SUPPLEMENTAIRE
I. Biographie de l’auteur
Née en 1967, à Kobe, au Japon, Amélie NOTHOMB est fille de l’ambassadeur de Belgique à Rome, petite nièce de l’homme politique Charles Ferdinand NOTHOMB. Elle est issue d’une ancienne et illustre famille Bruxelloise qui apporta autrefois la province de Luxembourg au Royaume de Belgique.
Elle passe ses cinq premières années de sa vie au Japon, dont elle restera profondément marquée, allant jusqu'à parler couramment le japonais et à devenir interprète.
Son expérience d’expatriée ne s’arrête pas là puisqu’elle vivra successivement en Chine, à New York, au Bangladesh, en Birmanie, au Laos avant de revenir à 17 ans sur le sol de Belgique, berceau de sa famille.
Elle suit des études gréco-latines et de philosophie romane à l’Université Libre de Bruxelles. De cette époque, elle se trouvera confrontée à une mentalité qui lui était inconnue jusque là.
Ce fut pour elle un choc social et culturel. Elle dira à ce propos « ce fut une solitude totale parce que j’étais incapable de communiquer avec les autres jeunes Occidentaux, je suppose que c’est en raison de ce malaise que j’ai commencé à écrire ».
Agrégée, elle retourne au Japon, entre dans une grande entreprise (expérience relatée plus tard dans Stupeur et Tremblements).
En 1992, son roman « Hygiène de l’assassin » (Albin Michel) (Prix René-Follet. Prix Alain-Fournier) rencontre un grand succès, désormais elle peut vivre de l’écriture, sa passion.
En 1993,