Stupidite
Dans « L’étranger », réalisé par Albert Camus, j’apprenne que Meursault, le personnage principal et le narrateur de l’histoire, ne se conforme pas aux normes de la morale sociale. Meursault ne comprend pas le monde, et ne comprend pas la fascination que les autres partagent envers la vie. Il ne sent aucune émotion, même quand il souffre les tristesses intenses comme la perte de sa mère. Aussi, il ne sent aucune jubilation quand il trouve un partenaire intime ou quand elle lui demande de lui marier. De plus, il écrit une lettre qui laisse son voisin, Raymond, de se continuer d’abuser sa femme. Il possède le temps d’écrire le lettre et donc il ne refuse pas ; il est tellement indiffèrent. Au début de l’histoire, même quand ses émotions miment celles d’une roche, il ne batte pas la dépression. Il est simplement indiffèrent envers la vie, aucune exception. Toutefois, Meursault n’essaie pas de démontrer les mêmes émotions que les autres. Il est honnête dans son indifférence. Il ne sent aucune tristesse ou satisfaction et donc ne démontre pas les émotions typiques, et « morales », que notre société attend. La société, comme réponse, rejet lui, et lui marque comme fou. Pendant son tribunal, son indifférence envers la mort de sa mère affecte les spectateurs plus que le fait qu’il a tué