Sujet etude droit discrimination positive premiere bac pro vente
Prenom
SUJET D’ETUDE N°1
LA DISCRIMINATION POSITIVE
A RENDRE LE 08/01/2013
Session 2013 Lycée XXLA DISCRIMINATION POSITIVE
Des formes de discrimination positive sont couramment pratiquées dans notre pays, même si elle n’existe pas officiellement en droit Français.
Son principe est d’instituer des inégalités pour promouvoir l’égalité, en accordant à certains un traitement préférentiel.
Problématique : La discrimination positive est-elle favorableou défavorable ?
Dans la première partie de mon étude, je présente les points négatifs et positifs de cette discrimination à partir d’un article de presse et d’une loi.
Dans la seconde partie, je présente les conséquences dues à la discrimination positive à partir d’un résumé de procès.
Je termine par une conclusion.
PARTIE 1 – BENEFIQUE POUR CERTAINS, NEFASTE
POUR D’AUTRES
1 – UNE POLITIQUE DE DISCRIMINATION POSITIVE : LES ZEP
Les ZEP (zone d’éducation prioritaire), c’est un dispositif qui crée une rupture dans le traitement égalitaire républicain puisqu’il s’agit de donner plus à ceux qui ont moins.
Les écoles, collèges et lycées concernés disposent de moyens supplémentaires et d'une plus grande autonomie pour faire face à des difficultésd'ordre scolaire et social.
Elles sont définies par l’Education Nationale, et ont été créées en 1981 sous la proposition de l’ancien ministre de l’éducation, Alain Savary, dans le but de lutter contre l’échec scolaire.
Extrait d’un article de Presse parut dans « Le Monde » le 27/02/2001 par Nathalie Guibert
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Sciences-Po s’ouvre aux élèvesdéfavorisés en les dispensant de concours.
Des Bacheliers venus des lycées « sensibles » recrutés à Sciences-Po Paris : ce devrait être chose faite dès septembre prochain. La grande école à présenté, lundi 26 février, les conventions qu’elle vient de signer avec sept lycées de la banlieue parisienne et de la région Nancéienne. Ces établissements vont repérer leurs meilleurs éléments, proposer àl’institut d’études politiques de Paris (Sciences-Po) d’ici au mois de mai un liste d’admissibles, qui seront accueillis sans passer le concours à la rentrée 2001.
L’école se contentera de leur faire passer un entretien « de motivation et de ritualisation ». Sciences-Po crée ainsi sa troisième voie d’accès sans concours, méritocratique, après celles offertes aux bacheliers ayant décroché une mentiontrès bien (une centaine d’admis) et aux étudiants étrangers.
Les étudiants des « conventions ZEP » seront, dès la seconde, préparés à cette perspective. Sciences-Po viendra les informer à la demande de leurs professeurs, proposera à ces derniers d’assister à des cours et d’étudier les copies des étudiants, accueillera les candidats pour des visites, mettre à leur disposition ses moyens audiovisuels,dans leur lycée, pour les former à l’expression orale. Des petites sessions de formation aux méthodes de travail sont aussi envisagées. En terminale, la première cuvée de candidats présentera, devant le jury interne au lycée, un travail de recherche et une note de synthèse basés sur l’étude d’un dossier de presse. A l’avenir, cette « épreuve d’admissibilité » s’appuiera sur les travaux personnelsencadrés (TPE) en voie de généralisation au lycée.
Les ZEP aident des jeunes venant de milieux défavorisés à avoir une scolarité suivie et adaptée à leur niveau. Le fait que Sciences-Po leur ouvre les portes leur permet d’envisager une situation d’avenir différente et meilleure...
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