Sujet d'invention sur le roman therese raquin
Rue Mazarine, un vendredi sans le moindre rayon de soleil , Elisabeth qui gardait son petit fils âgé de 17 ans et demi , fût prise de nostalgie profonde pour l'occasion des trente ans qui furent passés depuis la mort des Raquin . Ainsi elle conta cette histoire à Léo son petit fils , pensant qu'il étais en âge de connaître le malheur qui avait eu lieu dans cette sombre rue.
Ces gens-là, tu sais, sont le genre de personnes insoupçonnables, que l'on imaginerai sous aucun prétexte en proie à commettre l'irréparable. J'habitais depuis 5 ans déjà dans cette rue et je vis défiler des dizaines de familles, enfants en bas age dans ce sombre immeuble juste en face de la rue.
Puis , un jour une famille d'apparence ordinaire et sans histoire déposa ses valises dans ce bâtiment. Ayant l'air sympathique je voulus en savoir plus. Cette dame était si gentille, si attentive, elle avait le mérite de s'occuper de son enfant, enfin grand enfant si je puis dire, si malade et si mal en point. Elle avait un autre enfant en bas âge, sa nièce. Je me rappellerai toujours de l'air de cette adolescente si triste et dans un autre monde a la fois.
Avec le temps, son fils Camille fût promis à sa nièce Thérèse. Mariage arrangé? Je le pensai fortement. Avec le temps je me suis pris d'affection pour leur mère et tante. Elle fût ravie de pouvoir unir par le mariage les deux êtres qui comptaient le plus pour elle. Seulement, tout n'était pas si rose qu'en apparence dans leur ménage.
Leur existence était fade ; Thérèse fût prise d'ennui et de désespoir.
En premier lieu ce désespoir n'était pas visible, c'est par la suite que ce mal être se dévoila. Il y avait ce jeune homme, Laurent, ami de Camille et couvert d'affection par Mme Raquin qui le considérait rapidement comme une personne faisant