SUper
« Désordre organisé », il s’agit là d’un oxymore (une comparaison entre deux termes opposé au niveau du sens) qui résume l’idée principale du texte : le musée expose de manière incohérente des œuvres sans connaitre l’histoire réelle des tableaux. Ils mettent en exposition des tableaux par thèmes alors que parfois cela n’a aucuns rapports. Il y a alors un désordre au niveau du rangement des œuvres mais organisé à la manière du musée.
Nous avons pu aboutir à cette conclusion car au fil du texte nous avons :
- Une séries d'antithèses tout au long du texte par exemple "classement" s'oppose à "confusion"
- La présence du champ lexical du mélange des œuvres qui selon l'auteur nuit à la propre identité de chaque œuvre : "rapprochement de merveilles indépendantes mais adverses", "productions qui se dévorent l'une l'autre", etc.
Question 2 :
L'auteur va exprimer son point de vue de manière à montrer son mécontentement et son ressenti de manière très explicite notamment par une série de termes traduisant une réaction vis-à-vis du musée « Tout ceci est inhumain. Tout ceci n’est point pur ».
Mais aussi par l’emploi de question du type « suis-je venu m’instruire, ou chercher mon enchantement, ou bien remplir un devoir et satisfaire aux convenances ? »
Ou encore au travers de nombreuses hyperbole (figure de style qui consiste à créer une exagération et permet d'exprimer un sentiment extrême de sorte à frapper les esprits) tels que « Inhumain », « niaiseries », « barbarie », « tue tous les autres autour de lui » etc.
Question 3 :
Paul Valéry fais appel à la persuasion en utilisant de référence historiques et culturelles « l’Egypte, ni la chine, ni la Grèce n’ont connu ce système de juxtaposer des productions qui se devorent l’une l’autre ». L'auteur reprend dans ce dernier paragraphe des exemples de civilisations qui ne reproduisaient pas selon lui, ce type d’erreur avec ces œuvres. Ils les utilisent afin de marquer par d’un exemple