Supplément au voyage de bougainville
Dans un premier temps, Diderot fait une description idyllique du mode de vie des Tahitiens. En effet dans le discours le vieillard commence par évoquer leur bonheur « Nous sommes innocents, nous sommes heureux » et ceci en suivant « le pur instinct de la nature » sauvage. Les Tahitienspossèdent une notion de partage entre leurs femmes et filles qui n’a, jusqu'à l’arrivé des européens, jamais engendrer le sentiment de haine ou bien de jalousie «_ elles ont commencé à se haïr ». Diderot voit les Tahitiens comme des hommes libres. Il développe beaucoup les éléments qu’il juge positif de leur mode de vie comme la liberté de mœurs ou la communauté de biens mais il ne fait pas allusion aux éléments négatifs tels que les sacrifices humains, la distinction des rangs ou encore les guerres