Supracondutivite
Grâce à la découverte de la cryogénie, il y a eu la possibilité pour les scientifiques d’étudier plusieurs autres phénomènes qui y sont reliés. La supraconductibilité et la superfluidité en sont les plus importantes.
La supraconductibilité, c’est l’absence de la résistance électrique. À l’intérieur d’un matériau qui subit cette activité, il s’y retrouve une annulation du champ magnétique. Elle permet globalement de créer des électro-aimants plus puissants, qui peuvent servir à l’imagerie médicale, aux accélérateurs de particules et au fonctionnement des trains à sustentation magnétique. Il existe deux types de supraconducteurs. Au début, on considérait qu’ils s’agissaient uniquement de métaux simples, tels le plomb, le mercure ou l’aluminium. Peu à peu, les scientifiques ont découvert que ceux-ci pouvaient aussi être de nature inverse, c'est-à-dire, des métaux simples ou complexes, organiques ou non-organiques. Ces différences font parti du courant critique Ic et du champ critique Hc, qui sont des paramètres essentiels à la supraconductibilité. On a ensuite découvert que ceux-ci était détruite par un champ magnétique externe très élevé. Lorsque l’on met le champ magnétique externe H en fonction du deuxième qui est représenté par le B, il y a l’apparition de deux comportements différents. C’est pour cette raison qu’il y a deux types de supraconducteurs. Le premier, ne comporte qu’un seul champ critique Hc et le diamagnétisme est parfait. Par contre, il y a une conséquence pour cette perfection, qui est que ce corps parfait de supraconductibilité repousse tout champ magnétique extérieur. Ceci provoque un effet de lévitation possible, ce qui est très utiles pour les trains à grande vitesse.
Le deuxième, possède deux champs critiques, représentés par Hc1 et Hc2, et le second est plus élevé que le premier, bien que les deux contiennent les températures les plus élevés de champ et de courants critiques.