Survenant
Deuxièmement, avant l’arrivé du survenant, le père Didace est dans l’inquiétude de voir l’honneur qui avait conservé «pour tous ceux qui suivront» se détruire à cause de son fils, Didace-Amable. C’est alors qu’un Survenant «de bonne taille, jeune âge» (p. 19) donna «des coups à la portes». «Puis il fit jouer [«avec des mains extraordinairement vivantes» (p.19)] la pompe avec tant de force» (p.19) qu’avec seulement trois ou quatre fois un gros dégât se créer. C’est par le vocabulaire utilisé que sa grande force est ressentit. Il est tellement fort qu’il crée des dégâts d’eau. Ce n’est pas pour rien que le verbe employé au début est cogné et qu’il est question de main vivante. Didace voit en le Survenant les mêmes choses qu’en lui-même, un homme fort et travailleur ce qu’il aurait voulu voir en son propre